Électrique ou à essence, connaissez-vous l’aspect positif qu’aura apporté les VUS ?

Électrique ou à essence, connaissez-vous l’aspect positif qu’aura apporté les VUS ?

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Je suis né en 1957 et j’ai commencé à conduire à 16 ans, c’est-à-dire à l’été 1973. À cette époque, il n’y avait pas de VUS, mais toutes les voitures étaient quand même très longues et très larges. La visibilité et les manœuvres de stationnement n’étaient pas toujours faciles, car il y avait devant nous un énorme capot qui mesurait parfois jusqu’à 2 mètres de long !

À gauche, une Chevrolet Caprice et à droite, une Lincoln Continental des années 70.

Mon père, l’écrivain Claude Jasmin, était un des rares sur ma rue à avoir une voiture un peu plus petite que les autres. Il roulait dans une Camaro 1967 ! L’année de mon permis, il a eu la chance de vendre son projet de téléroman La Petite Patrie à Radio-Canada. Ses revenus ont alors augmenté. Il s’est acheté une Ford Montego, laissant la vieille Camaro à ma soeur, ma mère et moi. Puis, un an plus tard, il nous a dit qu’il avait assez d’argent pour remplacer la vieille Camaro par une 2e voiture neuve.

Et il m’a donné la responsabilité de choisir cette nouvelle voiture ! J’étais fier.

La Ford Montego 1973 de mon père.

Un nouveau joueur
Comme j’étais un fan de motos…

Source : roulezelectrique.com

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